Audi est l'inventeur des technologies les plus efficaces dans le monde. Le principe du TDI, à savoir la combinaison de l'injection directe et de la suralimentation dans un moteur diesel, a connu une carrière unique car il a fait ses débuts en 1989 dans l'Audi 100 TDI. Aujourd'hui , presque tous les constructeurs utilisent cette technologie.
Lorsque la technologie TDI a été introduite, Audi a permi non seulement de réduire les émissions au-dessous de dix pour cent, mais a également doublé la puissance spécifique et augmenté le couple de 70 pour cent. Ce n'est pas seulement un procédé permettant un style de conduite économe en carburant, mais le système améliore également le plaisir de conduire.
Contrairement à leurs prédécesseurs dans le secteur automobile des véhicules particuliers, les moteurs TDI d'aujourd'hui n'ont pas de chambre de précombustion ou chambre de turbulence où la combustion commence, au contraire, le carburant est injecté directement dans les chambres de combustion. Cette procédure empêche les pertes de chaleur et le trop-plein qui aurait lieu si les gaz se déplaçaient de la pré-chambre vers la chambre de combustion .
En termes de thermodynamique c'est la solution idéale, tout particulièrement en conjonction avec le turbocompresseur, ce qui augmente sensiblement l'écoulement de l' air d'admission et par conséquent la qualité de la combustion, la puissance, le couple et le rendement.
et intercoolers font partie intégrante de tous les groupes motopropulseurs TDI d'Audi: le V6 TDI avec une cylindrée de trois litres est présenté ici. La géométrie variable de la turbine du turbocompresseur assure une réponse spontanée du moteur et une courbe de couple homogène.
Combinée au convertisseur catalytique, au filtre à particules (DPF) et aux différents éléments du système d’échappement à émissions ultra-faibles, cette économie permet au moteurs TDI d’atteindre des niveaux d’émissions polluantes extrêmement faibles. Audi répond ainsi à la norme LEV II BIN 5 imposée en Californie, la plus stricte en matière d’émissions de gaz d’échappement. Certains modèles anticipent également les niveaux d’émissions fixés par la norme Euro 6, applicable en 2014.
Dès 1989, Audi annonçait l’ère du moteur diesel hautes performances en associant l’injection directe diesel à un turbocompresseur. Une technologie promise aux plus grands succès, jusqu’en compétition avec les trois victoires d’Audi aux 24 heures du Mans sur Audi R10 TDI. Et la technologie TDI continue d’évoluer. La dernière génération est équipée de la technologie Common Rail qui garantit un rendement exceptionnel et un agrément de conduite optimal.Et ce, à tous les niveaux de la gamme, puisque le TDI se décline en 4, 6, 8, 10 et même 12 cylindres, ajoutant ainsi la noblesse aux performances.
Aucun modèle de la gamme Audi n’ « échappe » au TDI. Témoin l’Audi TT 2.0 TDI quattro, qui allie un niveau de performances hors du commun et une agilité exceptionnelle.
L’équation du moteur diesel est simple : plus sa consommation est réduite, plus ses émissions sont faibles. Or, la réduction des émissions de gaz est l’un des principaux enjeux qui s’imposent au secteur automobile.
Avec le TDI, les niveaux de consommation des Audi battent des records de modération.
Combinée au convertisseur catalytique, au filtre à particules (DPF) et aux différents éléments du système d’échappement à émissions ultra-faibles, cette économie permet au moteurs TDI d’atteindre des niveaux d’émissions polluantes extrêmement faibles. Audi répond ainsi à la norme LEV II BIN 5 imposée en Californie, la plus stricte en matière d’émissions de gaz d’échappement. Certains modèles anticipent également les niveaux d’émissions fixés par la norme Euro 6, applicable en 2014.